 Ainsi donc : bas les masques !
Ainsi donc : bas les masques !Le sieur Guaino - conseiller et plume offizzielle du Sarko, qui d'habitude cherche à se donner un air très posé (*) - pète les plombs en "direct-live" sur la Lucarne à Blaireaux...
(*) posture de façade et de rigueur sur laquelle personne n'est dupe, en réalité - compte tenu de la teneur de certains des illustres "discours" que ce Guaino commet pour le compte de son mentor Sarkoziste... L'un des tout meilleurs "exemples" (façon de parler !) restant le trop "fameux" discours de Dakar (©Guéant/Sarlo de 2007), qui restera dans les Annales de la Bêtise et qui nous a flanqué la honte un peu partout, en Afrique notamment (...)

Quoi de plus normal, en réalité : un agité du bocal.... rédige les discours d'un autre agité du bocal. Charge au sieur Sarkozy de les énoncer verbalement, avec tout le talent gesticulatoire qu'on lui connait...
 Guaino : on le présente comme  comme "conseiller de Monsieur Sarkozy".
Guaino : on le présente comme  comme "conseiller de Monsieur Sarkozy".Mais on aimerait savoir de quel "Monsieur Sarkozy". Officiellement, c'est du Sarkozy Présient de la République. Concrètement, c'est du chef politique de l'UMP.
Donc question : comment et par qui est rémunéré Monsieur Guaino ?
 En tant que
 En tant que  "conseiller  depuis 2007 d'un président de la république sensé intégrer l'unité  nationale et être le président de tous les français"...
"conseiller  depuis 2007 d'un président de la république sensé intégrer l'unité  nationale et être le président de tous les français"... Monsieur Guaino est rétribué sur les fonds de l'Elysée, donc sur les deniers de l'Etat. Bref, aux frais du contribuable.
Le "problème", c'est la partialité caricaturale avec laquelle ce Monsieur Guaino "exerce" ses fonctions : il ne se comporte en réalité que comme la plume propagandiste, publicitaire et politicarde au service d'un prétendu "chef de l'Etat" en réalité en perpétuelle campagne ou précampagne plus ou moins clanique...
 Ainsi donc, le sieur Guaino pète les câbles sur un plateau TV. Il perd les pédale.  C'est les nerfs, Docteur :-))
Ainsi donc, le sieur Guaino pète les câbles sur un plateau TV. Il perd les pédale.  C'est les nerfs, Docteur :-))Voir ça, par exemple ====> http://actu.voila.fr/actualites/politique/2012/02/25/c-est-insupportable-a-la-fin-guaino-s-emporte-sur-france-3_2270471.html
C'était sur France 3 Ile-de-France, le spécimen en question, connu pour avoir la tête près du bonnet, était confronté à Jérôme Guedj, président PS du Conseil général de l'Essonne, lors de l'émission "La voix est libre".
Extraits (très légèrement customisés) :

Dans la première moitié de  l'émission, M. Guaino a pris la mouche quand son contradicteur a parlé  de "débat délétère", "indigne" sur l'identité nationale :  "Si vous  répétez 'indigne', on va arrêter là", a tranché le conseiller très Sarko-élyséen. Enchaînant ensuite sur un cocasse :  "Je  ne viens pas sur des plateaux pour me faire insulter (...)  Si je vous  traite de sale con, ça va vous plaire ?", a-t-il éructé, alors que la  conversation virait au brouhaha.
Jean-Jacques Cros a tenter de réclamer "un tout petit peu de sérénité". Mais à la reprise du débat, M. Guaino a à nouveau élevé la voix : "Mais c'est insupportable à la fin, je peux parler oui ?" a-t-il crié, tapant sur la table. "Taisez-vous, vous avez assez parlé !".
"Il vous faut prendre quelques jours de repos, on va vous mettre en vacances dans quelques mois", a glissé avec beaucoup d'humour l'élu socialiste qui, décidément taquin, ensuite enchaîné par ce : "Faut rester zen, M. Guaino"...
 L'élu de l'Essonne a aussi regretté que le conseiller de Nicolas Sarkozy n'ait pas montré la même agressivité vis-à-vis de Marine Le Pen  à laquelle il avait été opposé jeudi soir.
L'élu de l'Essonne a aussi regretté que le conseiller de Nicolas Sarkozy n'ait pas montré la même agressivité vis-à-vis de Marine Le Pen  à laquelle il avait été opposé jeudi soir.Tout ça est en réalité très symptomatique d'une Sarkozie aux abois, même si elle tente de ne
 pas trop l'afficher, histoire de faire bonne figure :  il devient de plus en plus fréquent et de plus en plus simple de lui faire péter les câbles, à la Sarkozie...
pas trop l'afficher, histoire de faire bonne figure :  il devient de plus en plus fréquent et de plus en plus simple de lui faire péter les câbles, à la Sarkozie...Cet aimable épisode Guainosien est de facto tout à fait conforme aux agitations sémantico-électorales du sieur Sarkozy, de plus en plus tenté (ndlr - plus encore depuis qu'il est pompeusement entré "très offizziellement en campagne")... par les sirènes de l'invective à la limite de l'insulte caractérisée - notamment vis à vis d'un F.Hollande dont il ne semble décidément pas appréhender l'adversité avec beaucoup de "sérénité"...
 Au demeurant, le registre taquin et plein d'humour de Jean-Jacques Cros est quant à lui assez en phase avec le registre ironique et volontiers caustique d'un F.Hollande quand il prend la peine de répondre au "président-candidat". Très brefs exemple, pour mémoire : "(...) le petit garçon qui bredouille en disant qu'il n'ira plus au Fouquet's", ou encore : "(...) ces agitations sont dignes d'une cour de récréation"...  :-D
Au demeurant, le registre taquin et plein d'humour de Jean-Jacques Cros est quant à lui assez en phase avec le registre ironique et volontiers caustique d'un F.Hollande quand il prend la peine de répondre au "président-candidat". Très brefs exemple, pour mémoire : "(...) le petit garçon qui bredouille en disant qu'il n'ira plus au Fouquet's", ou encore : "(...) ces agitations sont dignes d'une cour de récréation"...  :-DOn peut se demander combien de temps encore ces Messieurs de l'Elysée et de l'UMP vont
 ainsi prêter le flanc à l'humour... et au ridicule.  De l'Art de se faire chambrer par ceux qui ont de l'humour (en l'occurrence par ceux d'en face qui ont de l'humour...)
 ainsi prêter le flanc à l'humour... et au ridicule.  De l'Art de se faire chambrer par ceux qui ont de l'humour (en l'occurrence par ceux d'en face qui ont de l'humour...)En vérité, c'est là qu'on voit que l'arme de l'humour peut s'avérer redoutable dans un tel contexte électoral. C'est à se demander à quoi serventles "cons-eillers" en communication que la Sarkozie rémunère pourtant grassement - on apprendra dans quelques années que c'était en partie même sur le dos du contribuable.
 Comme on l'a déjà appris pour la campagne de Ballamou  (1995 : Sarko était alors l'un de ses principaux responsables de campagne)... et pour celle du sieur Sarkozy (2007 - le futur ministre du budget de l'époque, Monsieur Woerth, étant alors l'un de ces "tout premiers responsables de campagne" de son mentor Sarkozien (...).
Comme on l'a déjà appris pour la campagne de Ballamou  (1995 : Sarko était alors l'un de ses principaux responsables de campagne)... et pour celle du sieur Sarkozy (2007 - le futur ministre du budget de l'époque, Monsieur Woerth, étant alors l'un de ces "tout premiers responsables de campagne" de son mentor Sarkozien (...).
Rayons "pétages de plombs", "pétages de durite", "pétages de câbles" et "simple humour en réponse" : croisons-les doigts pour que ce petit manège continue. A mon avis c'est autant de points engrangés par le candidat "zen"...

A+
OliveM,
presque goguenard
 
 
 
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