OliveM

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Poil à Gratter pour démanger

dimanche 23 mai 2010

Papier pour Libération et pour Môôssieur Besson : le papier vengeur de Judas Iago BESSON dans Libération (ébats Guillon/Besson)

Bonjour,

Je n'ai pas lu le Libération du 29/3 à l'origine. Mais la curiosité concernant les ébats entre le franchouillard réactionnaire et populiste Judas Besson (second prénom : Yago) et le trublion Stephane Guillon m'a poussé à aller farfouiller sur le site web de Libé.
Pour dénicher le papier rageur et vengeur du ministre de la répression de l'immigration Besson.

Alors, pour reprendre la sémantique introductive de Monsieur Besson lui-même : "voici quelques mises au point" que j'ai pris soin, comme lui, de numéroter :

- 1) Il est assez navrant de voir un supposé "ministre de la république" s'abaisser comme le fait piteusement Monsieur Judas Besson à répondre à un humoriste quelqu'il soit. Il confesse d'ailleurs lui-même que certains "amis" ou plutot acolytes politiques à lui le lui ont déconseillé, mais que ça a été plus fort que lui...

La vérité est toute simple : Monsieur Besson est tout bonnement vexé, que dis-je.... ULCÉRÉ qu'on le dépeigne sous ses vrais traits et sous ses vrais travers... Et quand c'est la Satire et la Parodie qui s'en mêlent, alors là il pète complètement les plombs.

Car ne nous y trompons pas : le papier réactionnairDéry vengeur de Judas Besson daté du 29/3 dans Libération n'est rien d'autre qu'un vulgaire pétage de plombs, voire un grossier pétage de durite !

Tout ça prouve simplement que dans sa (ses) chroniques, Stephane Guillon appuie "là où ça fait mal", c'est très simple...

- 2) En sur-réagissant de la sorte, Judas Besson se sur-ridiculise lui-même, là même où Stephane Guillon l'avais déjà solidement ridiculisé. Bref, il ne fait qu'aggraver son cas et nous prouve à tous qu'il est suffisament stupide et suffisament impulsif pour tomber dans le panneau du caustique et du corrosif.
Un peu comme son mentor présidentiel Sarkozy, qui est capable de dire (Salon de l'Agriculture 2008) à un concitoyen qui au refuse simplement de lui serrer la pince : "Casse-toi pôv'con !".

Ce genre de comportement de la classe politique (dans 90% des cas de droite) la conduit directement au discrédit.
C'est ce qui fait la différence entre un Mitterrand et un Sarkozy, ou entre un Jospin et un Besson : ils ne jouent pas dans la même division, voilà tout.

Petit détail : même un mec comme Le Pen n'a pas jugé nécessaire ni opportun de répondre au trublion Guillon, sur ce coup-là... Sans parler du fait qu'il n'a nullement démenti la version guillonnesques de la filiation idéologique Le Pen / Besson.

- 3) Les qualificatifs dont use Judas Besson dans Libé pour essayer de se défouler sont vraiment dérisoires (gaucho, bobo, raciste. lâche, pleutre etc.) et prouvent qu'il perd complètement les pédales.
Traiter un spécimen comme Guillon de "raciste"... Il fallait oser. Besson n'a pas peur du ridicule. Même un Bedos, du temps de sa splendeur, n'a jamais eu le privilège d'hériter d'une telle drôlerie !

- 4) Les qualificatifs de "raciste" ou "extrême droite" sont particulièrement cocasses, dans la bouche de celui qui alimente de façon pernicieuse et depuis des mois la peur, l'ambiguité et l'ostracisme hexagonal rampant avec ses mélanges bien vicelards entre "identité nationale" et "immigration"...

La vérité, c'est que suite à son brillant parcours "politique", la taupe Besson a désormais droit :
- au mépris des gens de gauche qui le considèrent comme un traitre et comme un réactionnaire populiste et poujadiste de couleur brunâtre,
- au mépris des gens de droite qui le considèrent également comme un traitre, mais qui sont bien contents qu'il soit là pour faire avec tant de zèle le sale besogne du sarkozisme - sauce un peu brunâtre, il faut bien appeler un chat "un chat".

- 5) Alors Judas Besson tente de faire bonne mesure en se targuant d'avoir hérité de "réactions" soit disant "offusquées par les chroniques de Guillon". Il faut bien chercher à sauver les meubles comme on peut !

Soyons lucide : cet effet de manche est dérisoire par rapport aux dizaines voire aux centaines de milliers d'auditeurs qui se sont marrés et qui se sont grassement rèjouis en entendant la fameuse chronique de Stephane Guillon.

Judas Yago Besson essaie de se consoler comme il peut. Y compris en s'inventant d'inombrables "messages de soutien venus d'Afrique". Question : s'agit-il de messages d'africains expulsés par l'état français sur décision de son zélé ministre de l'immigration ?

Et Monsieur Besson de se dire "réconforté" par ces messages africains assurément innombrables ! Décidément, c'est le Théatre du Grand-Guignol !
Question perfide : pour nous faire partager ces soutiens populaires, africains, innombrables et offusqués, pourquoi Monsieur Besson n'ouvre-t-il pas un BLOG qui en constituerait le recueil ? Blog où toutes ces sucreries seraient mises en ligne pour étayer ses dires, et où chacun pourrait juger sur pièce ? Et où accessoirement les internautes pourraient laisser LIBREMENT leurs propres commentaires ?

- 6) Quant aux tentatives pathétiques de défis en duel, de quasi-intimidations physiques et autres leçons puériles de morale en matière de "peur" et de "lâcheté"... faut-il rappeler qu'elles émanent de quelqu'un qui en réalité est resté "courageusement" planqué derrière son bureau de "ministre", le jour où il s'est agit de chartériser des réfugiés afghans pour les renvoyer dans leur pays qui est en guerre (...).
Et c'est ce Monsieur Besson qui vient faire le beau en taxant les autres de "lâches" ? Comme aurait dit Jacques Prévert : "Au premier rang, les spectateurs se tapent sur les cuisses !".

- 7) Mais le plus grotesque, chez Judas Besson, c'est sans doute la fixette qu'il fait sur son "physique" et sur l'exploitation insidueuse et hautement perfide qui en serait faite par son bourreau radiophonique, humoriste et "gaucho". Comme si c'était là le plus grave dans ce que le trublion Guillon avait souligné dans son magnifique portrait. Dans la série sans doute : "Plus c'est gros, plus ça passe !". Ou un peu comme s'il s'agissait, c'est assez probable, de faire diversion vers des à-côtés en réalité très accessoires (le menton "fuyant", bigre, la belle affaire !!!).

- 8) Judas Besson (second prénom : Yago) fait mine de pouvoir s'offusquer qu'un "ministre français" (je cite) soit "présenté" (dixit - même s'il fallait comprendre en fait "caricaturé") sous les traits d'un nazi. Mais il oublie de dire qu'il ne s'agit pas de n'importe quel "ministre français" : il s'agit, rappelons-le, d'une taupe passée par la case de Montretout, puis infiltrée au sein des "bobo-gauchos" du PS pour le compte de Monsieur Le Pen, puis recrutée par un certain Sarkozy qui se réjouira allègrement de ses idées lumineuses en matière de "débat" sur "l'identität nazzzionale".

Ces quelques rappels factuels ne sont sans doute pas inutiles, même si cela file des ulcères d'estomac à Judas Besson, comme le montrent toutes ses gesticulations depuis deux semaines maintenant.

Il ne suffit pas de porter la casquette de "ministre français" pour s'affranchir des lois de la pesaNteur. Dans les années 70, un certain Maurice Papon fut lui aussi "ministre de la république"...
Avec des individus comme Papon et Besson comme ministres, bonjour l'image de la "République" !

- 9) Ce sont d'ailleurs peut-être ses ulcères d'estomac qui conduisent Judas Besson à nous faire le coup classique du Komplot, complexes de persécution et tendances paranoïaques obligent : le Komplot des "humoristes de gauche" qui serait ourdi contre lui, et plus largement des gens de gauche tout court. Bref, la taupe Besson a un autre point commun avec son père d'adoption, JM. Le Pen : il est très friand de la Théorie du Komplot...

Au demeurant, le seul mot de "gauche" suffit à le mettre hors de lui. Ce seul mot de "gauche" provoque chez lui de véritables spasmes convulsifs à caractère psychotique : ça le ronge de l'intérieur.

Ainsi ce seul mot de "gauche" revient-il une bonne dizaine de fois dans son papier obsessionnel pour Libération. Cette véritable névrose compulsive prouve que Stephane Guillon avait raison de souligner à quel point le jeune Judas Besson a du souffrir durant la période où il a infiltré le PS rue de Solférino, pour le compte du FN...

Parenthèse : le sieur Besson aime à manier le pléonasme. Il insiste ainsi lourdement sur la race des "humoristes de gauche", avec un croustillant usage des guillemets. Le problème, c'est que l'on n'a jamais vu d'"humoriste de droite" : c'est une espèce en voie d'extinction, et ce depuis longtemps c'est de notoriété publique. Plus précisément depuis un certain Le Luron, ce qui nous ramène 25 ans en arrière. Et ça aussi ça ulcère bien profond ce cher Besson... d'où son irre mal contenue contre l'espèce assez répandue des "humoristes de gauche" (...)

- 10) Suggestion à Monsieur Besson, ministre de la propagande nazzzzionale:
---> un nouveau débat national :
UN DÉBAT SUR L'HUMOUR NATIONAL Voilà au moins un truc qui amuserait la galerie !

Car il y a au moins un point auquel je souscris dans ce que dit Judas Besson.
C'est quand il dit en pleurnichant que son combat avec un humoriste n'est pas un "combat égal". En disant ça, il est lucide. Ou plutôt il se rend à l'évidence : son étonnante sagacité a encore frappé un grand coup !

Qu'un comique trublion radiophonique puisse ridiculiser ce que Monsieur Besson appelle pompeusement un "ministre français", c'est justement ça qui le met hors de lui. Et je ne suis pas seul à trouver ça rigolo. Nous sommes des millions, tous simplement.

- 11) Pour ma part, je ne connaissais pas Stephane Guillon. Mais suite à toute la publicité que le Besson lui a faite après ce fameux sketche du 22/3, j'avoue que non seulement j'ai podcasté sur le web la fameuse chronique en question, mais par surcroit j'ai podcasté toutes les plus fameuses chroniques guillonnesques encore en ligne.
Dont, bien sur, celle sur le "mariage gris" qui a tant irrité Judas Besson.

Notez bien que j'ai aussi téléchargé la dernière chronique en date sur DSK, laquelle m'a également bien fait rire, surtout quand on connait la réaction agacée de l'intéressé...

Ceci étant je le confesse : ce que j'ai précieusement conservé sur mon iPhone, ce sont tous les podcasts version vidéo "Guillon/Besson". Pour pouvoir les visionner et les faire écouter à mes amis et mes collègues de travail quand ils ont envie de se fendre un peu la poire.

Amusant, non ?
C'est fou comme l'information peut circuler, de nos jours, avec Internet...

"Je vous souhaite le bonjour, nous vivons une époque moderne..." (Cit. Philippe Meyer / France Inter).

Cordialement,
Olivier M
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PS - aucaz'où Judas Yago Besson trouverait ce message à temps : on lui signale que Canal+ diffuse ce soir une fiction qui lui est dédiée. C'est dimanche soir très tard, à 1h30 du matin, et ça s'intitule "La taupe".
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Copie : info@ericbesson.fr, info@ericbesson.tv, UMP, Elysée, le Bigaro, le Bigaro Magazine, France Inter, Stephane Guillon, Libération

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